A Stuckelberger

OMS et santé publique

Commentaires sur vidéoconférence d’Astrid Stuckelberger à propos de l’OMS

https://www.facebook.com/LeLibrePenseur.org/videos/3099997643607532

Commentaire personnel : Mon sentiment à la vision de cette conférence, par laquelle je découvre cette chercheuse universitaire, est partagé et nuancé.

D’un côté, je la pense très intelligente et animée d’une véritable recherche de la vérité à propos de la pandémie. Je pense aussi que son discours a une réelle autorité pour parler de l’OMS du fait qu’elle a collaboré longtemps et étroitement avec cette institution. J’écoute et enregistre donc avec grand intérêt tous les faits qu’elle rapporte.

D’un autre côté, je ne la suis pas dans certaines de ses interprétations, en particulier quand elles prennent une tournure trop complotiste au sens « mythique » du mot. Je pense que ce genre d’interprétation correspond à une tendance naturelle de notre esprit (ici angoissé par la crise) à « exorciser » le mal, c'est-à-dire à nous désolidariser de notre responsabilité collective en le projetant sur une micro-société imaginaire de complotistes malfaisants.

Ainsi, l’évocation de la présence de particules de « graphène » dans le vaccin, auxquelles elle attribue la mystérieuse propriété magnétique de pouvoir modifier le génome, me semble relever plus du phantasme que des réelles possibilités actuelles de la biotechnologie. Il en va de même de la théorie de l’« hydra » qui reposerait sur la découverte de « germes » dans les fioles de vaccin. Ces micro-organismes aux propriétés de régénération étonnantes me semblent relever du même processus. Je me demande si elle n’a pas fixé plus particulièrement ses accusations sur Bill Gates parce que le programme de santé publique proposé par ce grand donateur de l’OMS en 2012 est fondé sur une stratégie du « tout vaccinal » qui a évincé le sien, beaucoup plus « multiculturel ». Cette éviction de son programme par un des puissants de la planète semble avoir entraîné sa disgrâce auprès de ’OMS mais aussi des autorités académiques de son université (Genève). Ces interprétations que je ne partage pas n’ôtent toutefois rien à la valeur et à l’intérêt des faits qu’elle rapporte. =======================================================

Diplômes : master en sciences ; doctorats en Santé publique, santé mentale et anthropologie médicale. Anglophone, francophone, mère norvégienne et père suisse allemand

Chercheur à l’université de Genève

Travail à l’ONU dans le cadre de l’OMS

Travail à l’OMS : 2009-2012 : mandat de recherche sur les pandémies et leur gestion

Participe à la rédaction du « International health regulation (IHR) » (obligatoire depuis 2005) et du « casebook on ethical issues in international health regulation”.

Principes de santé publique (IHR): Etant donné que la santé est un processus global (multidimensionnel) et la maladie est un processus médical/ hospitalier (unidimensionnel), en cas d’épidémie ou de pandémie, il est impératif 1) de laisser fonctionner le business/ commerce et 2) de respecter les droits humains individuels.

Ne pas confondre « syst de santé » et « syst médico-hospitalier ».

Elle prépare un cours sur la gestion des pandémies pour l’Univ de Genève et l’OMS et, en 2012, elle gagne le concours pour promouvoir son projet de Santé publique. De plus, elle est pressentie comme candidate à la direction d’un important service de l’OMS et est remplacée sans explication par un biostatisticien de Rennes. Son cours de « santé participative » déplait à manifestement à certains dans l’OMS

Brusquement les crédits pour ce cours sont bloqués (par le Japon !) et ses projets de SP remplacés par ceux de Bill Gates. Le programme très « vaccinal » de Gates est adopté de 2012 à 2020. Elle se voit interdite d’enseigner son cours RSI de santé publique à l’Univ de Genève, d’abord par un fonctionnaire de l’OMS qui outre passait ses droits puis par les autorités hospitalo-univ de Genève largement subbsidiées par Gates.

Dure prise de conscience de l’état de corruption de l’OMS et des autorités hospitalo-universitaires de Genève.

La réalité des vaccins -en Europe : 27.173 décès ; 2.999.000 EII graves (12.115 < 15 ans) ; 34.700 handicaps permanents

-Aux USA : 17.128 décès (32 enfants) contre 3.204 en 30 ans tous Vx confondus