Résumé parJDMichel (CSI) de l'article du Newsweek sur A FAUCI

Résumé des Commentaires de Jean-Dominique MICHEL sur l’article du Newsweek du 01/11/21 sur A.Fauci et quelques autres faits récents

CSI n° 30 du 04/11/2021 (chrono : de 00 :52 :41 à 01 :25 :00)

« How Anthony Fauci Fooled America » par Martin Kuldorff[1] et Jay Bhattachraya[2]

Les auteurs accusent A. Fauci de

-déni incompréhensible de l’immunité naturelle : Fauci qualifie la stratégie de l’immunité collective d’ « insensée et très dangereuse », ce qui est contraire à la doxa classique en santé publique. L’OMS ayant abandonné en 2.012 la doxa classique en santé publique pour adopter la stratégie vaccinale « proposée » par Bill Gates, elle a soutenu les directives de A Fauci. Selon l’OMS, l’immunité collective est « scientifiquement problématique et anti-éthique » !

- défaut de protection des sujets âgés, le seul groupe social vraiment à risque (rapport Bénéfices/Risques <1)

- campagne vaccinale abusive. Elle ne « devrait pas exister » disent-ils

- fermeture « inutile » des écoles

- port du masque pour raison de « superstition ». Il n’existe que deux études randomisée sur le sujet. L’une danoise, conclut à l’inefficacité du masque ; l’autre bengali, conclut à une efficacité entre 0 et 18 %.

- Le traçage inutile des contacts que Fauci décrit comme « critique » serait en fait un « gaspillage inutile des ressources ».

- des dommages collatéraux désastreux. Les statistiques présentées ne tiennent pas compte du caractère multidimensionnel de la santé classiquement mesuré en santé publique par le « QUALY[3] ». Calculé selon ce paramètre, l’indice qualy est désastreux.

- De « propagande » médiatique : des mails entre Fauci et Mark Zuckerberg (Facebook) en mars 2020 (« Fauci papers ») révèlent une entente pour 1) diffuser la doxa du gouvernement, 2) Persuader les infectiologues de suivre le programme d’informtion sur le Covid sur facebook, 3) Surveiller l’information circulante et 4)Persuader les clients de suivre sa stratégie et d’en accepter les contraintes. De même, sur Google, les messages « orthodoxes » sont systématiquement mis en début de liste et les messages « contestataires » cachés plus loin.

- Calomnies et représailles : M Kuldorff a été calomnié par son ancien employeur et exclu du CDC parce qu’il émettait des doutes sur la stratégie adoptée

- Censure : M Kuldorff est censuré sur Facebook, Google etc et JD Michel lui-même a été censuré par Google durant 30j pour « contenu qui va à l’encontre de nos standards de la société »).

La stratégie de Fauci, (celle d’un confinement généralisé de toute une population en bonne santé, d’une imposition du masque et d’une vaccination forcée de sujets sans risque de présenter un Covid grave) n’a jamais été utilisée auparavant et est même contraire à l’éthique et à toutes les recommandations classiques en santé publique.

Les auteurs révèlent aussi plusieurs fautes professionnelles majeures de A. Fauci :

- Un parjure incontestable devant le congrès, en réponse à quoi il a affirmé que « les attaques à son égard sont, franchement, des attaques contre la Science ».

- Un financement pour 100 millions de $ d’expérimentations animales sur les chiens et les singes d’une cruauté digne du Dr Mengele (terrorisation expérimentale ?).

En annexe, JD Michel relève une « escroquerie scientifique » de la part de Alessandro Diana, virologue suisse qui prétend qu’un an après le vaccin à ARNm, le taux de protection est de 88 à 95% et que cette protection tient bon 18 mois !!.

Il rappelle que le tribunal de Nuremberg a condamné à la pendaison Julius Streicher pour « soutien médiatique à une crime de guerre ».

Il évoque une affaire récente impliquant le médecin-chef d’un hôpital régional suisse. Bravant les interdits, il a soigné avec l’association hydroxychloroquine-Azythromicine 40 patients dont aucun n’a dû être admis en réanimation. Il a ensuite ajouté de l’Ivermectine et soigné avec cette trithérapie 400 patients qui ont tous guéri. Les autorités universitaires et sanitaires l’ont forcé à arrêter ses traitements.



[1] Biostatisticien, spécialiste en santé publique et épidémiologiste de Harvard (h79)

[2] Médecin épidémiologiste, spécialiste en santé publique de Stanford (h 57)

[3] Quality Adjustment Life Years.