Covid 19: le mensonge originel

Le « mensonge originel » sur l’origine du virus de la Covid,

Si on veut commencer à s’extraire du gigantesque brouhaha ou brouillard médiatico-scientifique entourant la pandémie, il faut chercher à élaborer un récit cohérent des événements sanitaires, scientifiques et politiques en commençant par faire la clarté sur la « racine du mal », c'est-à-dire sur l’origine du virus de la Covid. C’est cette question qui est l’objet du « mensonge originel » dont je vais parler ici.

Le « mensonge originel » désigne ici le comportement d’Etats (USA et Chine en tête), d’institutions internationales, sanitaires (OMS) et scientifiques (grandes revues et sociétés scientifiques), visant à cacher aux citoyens de la planète que le virus de la pandémie est le résultat d’une recherche scientifique en virologie commencée il y a plus de dix ans et ayant abouti à la création d’une « chimère » virale (un OGM) hautement contagieuse pour l’homme. L’imprudence impardonnable de telles recherches est aujourd’hui démontrée par l’échappée, très probablement accidentelle, de ce monstre viral du laboratoire où il avait été conçu.

Tous co-responsables

Tous ces acteurs avaient intérêt à étouffer le scandale.

Les Etats Unis (ainsi que la France et l’Australie) parce qu’ils avaient financé très généreusement des recherches (aux USA comme à Wuhan) sur le « gain de fonction », alors que ce type de recherches avaient arrêtées sous Obama pour des raisons éthiques.

La Chine avait fait du laboratoire de Wuhan d’où s’est échappé le virus, le fleuron de la biotechnologie chinoise. Reconnaître cette réalité ferait « perdre la face » (honte suprême dans ce pays) au président Xi Jing Pin et à son parti unique.

L’OMS, dont la Chine est un contributeur financier majeur, a collaboré à ce mensonge d’états par une diplomatie de « soumission à l’autorité » de son bailleur de fonds.

En ce qui concerne les institutions scientifiques, la position stratégique de certains virologues dans la répartition des fonds de recherche aux USA et le réseau de relation "mondaines" très étendu de quelques autres professionnels, tous plus ou moins liés au laboratoire de Wuhan a permis de faire accréditer très précocement par la communauté scientifique et les ténors de la littérature scientifique (Lancet, Nature, Science) la thèse de l’origine naturelle (par mutations) du virus mais aussi la thèse des intentions "complotistes" de ceux qui osaient évoquer l’origine artificielle ou accidentelle. Et l’on sait combien ce qualificatif a servi les intérêts de tous ces complices du mensonge originel.

Une fois tous ces acteurs impliqués, ils ne pouvaient plus se rétracter sans perdre leur crédibilité aux yeux du monde. Ce mensonge est donc un mensonge collectif des élites politiques et scientifiques de la planète, une sorte de « super-mensonge d’état ». Difficile à croire mais nous avons aujourd'hui un tel faisceau d'arguments en faveur de cette thèse qu'il faudrait une solide mauvaise foi pour ne pas y croire.

Dès qu’on a bien intégré cette vérité, on dispose d’un fil conducteur qui permet de comprendre en profondeur (au niveau psychologique) la logique du déroulement de cette incroyable « saga » de la pandémie.

La "grosse bêtise" initiale

Nous avons tous fait l’expérience, quand nous étions enfants, d’une « grosse bêtise » inavouable. Prenons l’exemple d’un gamin qui aurait étranglé le chaton de sa petite sœur. La faute étant inavouable, il va aller enterrer sa victime au fond du jardin, faire semblant de participer activement aux recherches et suggérer discrètement à son entourage le nom de suspects, responsables potentiels de cette disparition. Après deux semaines, le père décèle au fond du jardin une odeur de bête morte provenant d’un lieu où la terre a été récemment remuée. Il en extrait le chaton en putréfaction, ce qui dirige automatiquement les soupçons sur le grand frère. Celui-ci finit par être forcé, au prix d’une série d’autres petits mensonges cousus de fil blanc, d’avouer sa faute. En fait, dans l’histoire de la pandémie, la situation est identique sauf que le « gamin » correspond à l’élite scientifique et politique de la planète et l’odeur du chat à une pandémie. Et tout le monde sait que les mensonges d’état sont les plus tenaces. Toutefois, tant que le mensonge initial ne sera pas reconnu explicitement, il empoisonnera secrètement la vie sociale. Et c’est bien ce qu’il se passe aujourd’hui. Le venin du mensonge originel divise les familles et la société toute entière.

Une fois bien intégrée cette idée "impensable", tout s’éclaircit parce que tous les événements « prennent sens ». De ce premier mensonge découlent, dans une logique quasi mécanique, tous les « petits » mensonges qui ont suivi, ceux, par exemple, que ne manquent pas de souligner et de corriger, à juste titre, ces prétendus « complotistes » qui entravent le travail des autorités politico-sanitaires locales. Ces autorités sont convaincues, en toute bonne foi, d’agir au mieux pour leurs concitoyens mais, pour ce faire, ils s’appuient sur une logique et une vérité qu’ils pensent incontestable, celle de la Science, de ses chiffres, de ses modèles et de ses statistiques. Toutefois, ils ne prennent aucunement conscience que c’est cette même Science (ici la virologie) qui a généré la pandémie et que les stratégies inspirées en haut lieu (par l’industrie des vaccins) sont directement liées à ce gigantesque mensonge. Il existe en effet des liens profonds qui lient, depuis toujours, les virologues à l’industrie du vaccins et une méticuleuse préparation par les stratèges de cette industrie de tout ce qu'il s'agissait de faire pour tirer un profit maximal d'une pandémie.

Tant qu'on continuera à refuser de voir en face cette réalité "impensable", on continuera à marcher dans l'obscurité et à nous entretuer au nom de croyances devenues, dans l'atmosphère de panique, quasi religieuses