Le livre: La pandémie du mensonge

- 01-02-22: 4ème de couverture, Introduction (une partie) et table des matières de mon livre

La Pandémie du Mensonge et de la Peur

Une enquête pour comprendre la crise

Le livre papier sera disponible à la vente très prochainement

Le PDF est disponible gratuitement à la demande (jean.stevens@wanadoo.fr)


4ème de couverture

Dans cette incroyable guerre « pro-vax » versus « anti-vax », une seule question hantait nos esprits. A qui (à quelle personne) puis-je accorder ma confiance ? Aujourd’hui, la question s’évanouit quand on la pose différemment. A quoi (à quels chiffres objectifs) puis-je me fier ? Les seuls chiffres infalsifiables sont ceux de la mortalité « toutes causes » des registres de la population. Certains pays (UK) seulement précisent le statut vaccinal de la personne décédée mais dans tous les pays, il est possible d’observer une corrélation temporelle entre la vaccination de la population et une hausse de la mortalité toutes causes. On peut donc aujourd’hui répondre à une première question :

« Le vaccin tue-t-il plus que la Nature ? »

Et la réponse (en janvier 2022) est sans appel : « Oui, assurément »

- Au Royaume-Uni, depuis avril 2021, la mortalité toutes causes entre 10 et 59 ans est deux fois supérieure chez les vaccinés que chez les non vaccinés.

- En Europe, la corrélation temporelle entre vaccination et surmortalité est très significative et aucune autre cause que le vaccin ne l’explique.

- Dans tous les centres de pharmacovigilance on relève une déclaration de létalité exceptionnelle de ce nouveau « vaccin » : 36.000 décès en Europe et 26.000 aux USA. Comme le nombre de cas collectés ne représente que 5 à 10 %, des cas réels, le bilan total serait de 620.000 à 1.200.000 décès.

La seconde question cruciale est : « les vaccins sont-ils efficaces ? » Non seulement ils ne sont efficaces que quelques mois mais ils rendent les vaccinés plus sensibles aux nouveaux variants. Les pays les plus vaccinés connaissent aujourd’hui le plus haut taux de contamination. La conclusion est claire : depuis deux ans,

nos autorités et nos médias nous mentent.

Pourquoi ? C’est le mystère que l’auteur a essayé de décrypter.

L’auteur est un médecin clinicien retraité. Après 5 ans de formation en milieu hospitalo-universitaire, il a pratiqué pendant vingt ans la médecine interne libérale, huit ans la médecine générale et treize ans la cardiologie. Il a surtout mené durant quarante ans, en solo, une recherche fondamentale en biologie. Il vit actuellement dans le Sud-Ouest de la France.

Introduction

J’ai commencé mon enquête en août 2021 et j’ai commencé à rédiger ce livre en décembre. Les informations disponibles quand j’ai rédigé le premier chapitre ne ressemblent plus du tout à celles dont je dispose aujourd’hui (janvier 2022). Pour éviter de remanier à l’infini mon texte, je préfère utiliser cette introduction pour livrer d’emblée les résultats de mes recherches et les « intimes convictions » que j’en ai tirées aujourd’hui. Je n’écris pas un roman policier même si mon enquête a souvent ressemblé à ce genre de travail. J’écris pour tenter d’assainir une situation sociale et politique particulièrement destructrice de nos liens sociaux et de nos valeurs profondes.

Je suis un « vieux clinicien » qui a pratiqué successivement la médecine hospitalo-universitaire (5 ans de formation spécialisée), la médecine interne en Belgique (25 ans) interrompue par sept années (2 x 3.5) de médecine générale et 13 ans de cardiologie libérale en France. J’ai aujourd’hui 73 ans et j’ai pris ma retraite il y a 5 ans, très heureux de quitter un système médical avec lequel je n’étais plus du tout en phase. La médecine et les médecins me semblent avoir perdu leur âme. Ils ont remplacé l’art de la clinique par une compétence technique, supportée par une « médecine par les preuves » (EBM, Evidence Based Medicine) totalement déshumanisée. C’est sur ce terrain malade qu’ont proliféré les mensonges et la peur.

J’étais en Belgique lorsque le Président Macron a annoncé sa stratégie de gestion de la crise : déclaration d’un « état de guerre », confinement de la population et mise hors jeu de la médecine de première ligne : interdiction aux médecins généralistes d’entrer en contact avec les malades suspects de Covid et de prescrire autre chose que du paracétamol et ordre d’envoyer les cas qui s’aggravent à l’hôpital.

« Fou » mais seul maître à bord

En entendant ces mesures, le vieux clinicien que je suis s’est écrié avec une spontanéité qui résumait quarante-cinq ans de pratique clinique : « il est complètement fou ! ». Ayant pratiqué la médecine générale durant sept ans, je savais que ces décisions relevaient d’une parfaite méconnaissance de la médecine de terrain. Il commençait donc son oeuvre de santé publique en détricotant ce dont on a le plus besoin dans une telle situation : la médecine de première ligne. Je ne sais toujours pas quels médecins l’ont conseillé dans cette décision mais la suite des événements me fait penser qu’il a d’emblée décidé d’être lui seul le capitaine du paquebot France durant sa traversée de la tempête « pandémie ». Il avait très probablement, comme en beaucoup d’autres matières, une idée très précise de ce qu’il convenait de faire, une « doxa »[1].

Les médecins généralistes, les premiers concernés et les plus habitués à gérer une épidémie virale ont donc été totalement écartés des lieux de décision comme des plateaux télévisés parce qu’il ne fallait pas que leur voix interfère avec sa stratégie. Pendant ces deux années de crise, un seul d’entre eux a siégé au Conseil scientifique (CS). Le Président a manifestement préféré s’entourer de spécialistes très pointus beaucoup moins familiers que les généralistes de la réalité des épidémies et ayant certainement chacun un avis très différent sur la question ; ceci n’aurait pas été le cas avec des médecins généralistes[2].

Je me demande quelle expérience et quels conseils autorisés pouvaient lui apporter, dans une crise sanitaire, un anthropologue, un sociologue, un biostatisticien, un épidémiologiste, un modélisateur, un vétérinaire et un spécialiste des nouvelles technologies (sept des 17 membres du CS) dans une crise sanitaire ? En diversifiant ainsi les avis et en choisissant seul les membres de ce Conseil, il est bien resté seul maitre à bord. Les avis du président Delfraissy, dès avril 2020 par exemple[3], lui suggérant de démocratiser les décisions sont restés lettre morte. Son ministre de la santé, médecin neurologue de formation, m’a donné l’impression, depuis le début de sa prise de fonction, qu’il avait tout oublié de la médecine[4] et qu’il n’était que le larbin obéissant d’un président autoritaire qui l’envoyait transmettre ses ordres au peuple et assurer le service après-vente de ses décisions très peu populaires.

Emmanuel Macron, 44 ans, Président qui, politiquement parlant, sort de nulle part, s’est ainsi auto-institué au début de l’épidémie à la fois général dans une guerre contre un ennemi invisible et super-docteur de la Nation frappée par une épidémie dont le virus était inconnu. Or, ce ne sont ni ses études à l’ENA ni son travail d’associé-gérant de la banque d’affaire Rotschild, ni sa fonction de ministre de l’économie qui pourraient lui avoir donné une quelconque compétence, et donc une vraie autorité, dans l’art de la guerre ou l’art médical. Je n’ai probablement pas son génie intellectuel mais j’estime être, par ma formation et mon expérience, infiniment plus « autorisé » que lui pour émettre un avis sur la pandémie et la stratégie qu’il a imposée à son « peuple » depuis deux ans. Comme cette stratégie ne fait qu’enliser un plus chaque jour la population dans l’angoisse et la désorganisation sociale - alors que d’autre pays en ont fini de cette épidémie -, j’ai décidé de faire entendre ma voix qui est celle, je pense, des très nombreux médecins muselés par leurs Conseils de l’Ordre.

Dès le départ, j’avais prévu que ses décisions, aussi « folles » sur le plan médical que sur celui de la santé publique, aboutiraient à une impasse. Tous les médecins généralistes le savent, on ne fait pas la « guerre » à un virus. On apprend à vivre avec lui en essayant de minimiser les dégâts et en fortifiant les défenses immunitaires des plus fragiles. J’avais aussi prédit dès le premier jour que les conséquences psychologiques, sociales et économiques de sa stratégie causeraient infiniment plus de dégâts que le virus lui-même. Toutefois, voyant que tous mes confrères en activité semblaient accepter cette stratégie, j’ai renoncé à intervenir dans le débat et je me suis alors totalement désintéressé de la question. Quand, après un an de crise, j’ai compris qu’il comptait gagner sa « guerre » contre le virus grâce à un nouveau « vaccin », j’ai été triplement effrayé.

La vaccination génique une thérapie au service de qui ?

Effrayé d’abord parce que l’introduction de ce « vaccin génique » était manifestement le fruit d’une manœuvre orchestrée par l’industrie pharmaceutique. Je connais celle-ci depuis cinquante ans et je sais de quelle puissance de perversion du système et de corruption des hommes elle est capable. Il fallait absolument qu’elle rentabilise enfin les sommes colossales qu’elle avait investies depuis quatre décennies dans les thérapies géniques qui, initialement décrites comme « révolutionnaires », avaient toutes, jusqu’ici, échoué. Tous les essais cliniques se sont arrêtés en phase 1 à cause de l’importance des effets secondaires. Ici, vu l’état d’urgence, elle a deviné l’opportunité de passer outre toutes les barrières de sécurité classique et de mettre enfin sur le marché un produit de leurs investissements. Il y avait toutefois une condition légale à cette mise sur le marché en urgence, « démontrer qu’il n’existe aucune alternative thérapeutique ».

C’est ce qui explique ce « mystère » médical qu’est l’interdiction faite aux médecins d’utiliser autre chose que du paracetamol. La prescription de ce médicament a effectivement explosé alors, au grand profit des laboratoires qui le fabriquent. Jamais, de mémoire de médecin, on n’avait assisté à ce genre d’intrusion sans aucun fondement scientifique des autorités politiques dans les prérogatives et les devoirs légaux des cliniciens. Ces ordres bafouaient leur liberté thérapeutique et leur devoir déontologique d’assistance aux malades[5]. Le politique avait pris le pouvoir sur le monde médical et c’était là, pour nos systèmes démocratiques, un flagrant « abus de pouvoir ».

La destruction des initiatives individuelles

Effrayé ensuite parce que, confronté à un virus inconnu, n’importe quel conseil scientifique avisé et préoccupé de sa fonction sanitaire se serait mis à l’écoute de l’expérience des médecins de première ligne. En cas de catastrophe naturelle tous les secouristes savent qu’il faut compter sur les initiatives privées et l’imagination des individus parce que ce sont là les outils de résilience utilisés par tous les systèmes vivants confrontés à une menace environnementale. Ce sont toujours les individus « mutants », des originaux précédemment minoritaires, qui s’avèrent être la voie du salut de leur espèce et qui deviennent, souvent après la crise, la population majoritaire parce qu’elle est mieux adaptée. Dès qu’un espoir de traitement efficace aurait émergé, il suffisait de tester cette molécule sur un petit nombre de malades et ainsi vérifier très rapidement si l’effet positif se confirmait. Au lieu de cela, le « général en chef » autoproclamé « médecin de la nation » a interdit toute tentative en ce sens et, ce qui me paraît encore plus mystérieux (voire criminel), c’est qu’il soit parvenu à faire appliquer ses ordres dénués de tout fondement médical ou scientifique par les Conseils de l’Ordre, l’organe légal qui a autorité sur le corps médical. Je ne sais pas par quel mystère tous ces médecins en principe responsables du respect des principes de l’éthique et de la déontologie médicale ont pu accepter cette incroyable « soumission à l’autorité ». Cette autorité était manifestement abusive puisqu’elle s’arrogeait le droit d’interférer avec leurs prérogatives légales. Quelle que soit la raison de leur comportement, ils ont tous été, dans cette situation de crise, d’une lâcheté impardonnable. Ils ont abandonné les médecins et leurs malades aux diktats d’un pouvoir politique abusif.

Le vaccin, un outil préventif et pas thérapeutique

Effrayé finalement parce que le vaccin n’a jamais été une arme de crise. Tous les virologues et les immunologistes connaissent l’extrême complexité de notre système immunitaire[6]. Le slogan du « salut par la vaccination », fer de lance de stratégie macronienne sous-entend que les anticorps vaccinaux sont l’arme qui va tuer l’ennemi. Cette idée relève d’une vision tellement simpliste de la physiologie qu’elle démontre le niveau d’incompétence médicale de nos autorités. L’expérience des vaccins en deux siècles a beaucoup à nous apprendre. Par exemple que, par le passé, des vaccinations de masse fondées sur ce genre de « doxa » simpliste, a souvent causé dans les populations vaccinées des dégâts beaucoup plus importants que le mal qu’ils prétendaient prévenir. L’exemple du vaccin contre la dengue (Dingvaxia®) aux Philippines[7] est fort semblable à notre situation actuelle. Malgré les cris d’un médecin lanceur d’alerte, l’OMS a approuvé la poursuite d’une vaccination de masse qui a provoqué la mort officielle d’au moins 600 enfants sur les 800.000 vaccinés. On sait aujourd’hui que ce vaccin aggrave en fait la maladie si le vacciné rencontre le virus. La dengue devient hémorragique et l’enfant meurt. On sait aussi que cette situation est due à la sécrétion d’anticorps « facilitants » en plus des anticorps « bloquants ». C’est d’ailleurs aujourd’hui le même mécanisme immunitaire qui explique la recrudescence paradoxale des infections par le SARS-Cov-2 (surtout le variant omicron) chez les sujets doublement immunisés[8]. Mais l’exemple du Dingvaxia® n’est pas isolé. En 1999, la CDC (pharmacovigilance des USA) détecte une épidémie de cas d’autisme qui semblent en relation avec la nouvelle polyvaccination imposée aux enfants depuis 1989, en particulier à cause du mercure du vaccin contre l’hépatite B et de l’aluminium dans les autres. Le scandale a été étouffé par Big Vax[9]. Le Gardasil, un « vaccin » contre le cancer du col a été retiré du marché et la firme Merck a dû payer une amende de plus de 4 milliards de $. En 2014, l’OMS vaccine des milliers de femmes au Kenya contre le « tétanos » et 90% font des fausses couches et sont devenues stériles. Bien d’autres essais de vaccination de masse ont été interrompus à cause d’effets secondaires désastreux. La légèreté avec laquelle nos autorités sanitaires européennes, américaines et l’OMS ont admis la mise sur le marché de cette toute nouvelle technologie génique était déjà impardonnable[10] au début mais elle l’est encore infiniment plus depuis qu’on connaît le nombre hallucinant de décès et d’effets secondaire graves rapportés (cfr infra). Cette attitude ne peut se comprendre que par un état de corruption profonde du pouvoir sanitaire et médical, corruption systématiquement organisée depuis des décennies par les lobbys pharmaceutiques (cfr Ch 5 et 6B). L’action d’un vaccin ne se résume pas - comme le pensent, dans leur totale inculture médicale et scientifique nos autorités - à la sécrétion de « bons anticorps » qui vont détruire le « méchant ennemi » désigné par notre général en chef totalement ignare en médecine et en science. D’ailleurs, sans l’aide indispensable de Big Tech et Big Media chargés de réduire au silence les voix qui ne sont pas conformes à sa doxa, quelles que soient leurs compétences scientifiques[11], jamais il n’aurait pu l’imposer à la population.

En testant une nouvelle molécule, le médecin sait très bien qu’il joue un peu l’apprenti sorcier et que, pour éviter une catastrophe sanitaire, il doit s’entourer d’un maximum de précautions. Et s’il s’agit d’une toute nouvelle technologie, comme c’est le cas ici, il y a lieu d’être deux fois plus prudent[12]. Or, malgré les avertissements répétés de grands spécialistes de la sécurité médicamenteuse, nos hommes politiques poursuivent dans une surdité ahurissante à faire sauter les uns après les autres tous les verrous de sécurité mis en place depuis la fin de la guerre pour garantir l’innocuité des médicaments mis sur le marché. Après avoir promu à grands renforts de propagande la vaccination (génique expérimentale) aux adultes, ils l’élargissent d’autorité sans aucune concertation de la communauté médicale ou scientifique et même contre l’avis de l’OMS, du centre national d’éthique et de collectifs de pédiatres, aux enfants. Chez ces sujets, les plus fragiles et les plus précieux de la nation, le virus de la Covid représente une menace nulle alors qu’on sait aujourd’hui qu’en Europe ce vaccin a déjà tué, au minimum, 120 enfants de moins de 18 ans[13] . Les enfants auraient au contraire tout avantage à contracter le virus sauvage de façon à acquérir une immunité naturelle, bien plus efficace et plus durable que l’immunité vaccinale. Ce n’est qu’en faisant foi au discours totalement mensonger de Big Pharma que nos hommes politiques et certains médecins vendus à l’industrie pharmaceutique ont cru à l’incroyable thèse d’une immunité vaccinale supérieure à l’immunité naturelle[14]. Aucun médecin ne peut croire à cette fable. La vaccination n’est pas un outil à utiliser en période épidémique parce que personne ne sait comment les anticorps naturels vont interférer avec les anticorps vaccinaux. C’est un outil préventif et, de plus, un outil médiocre à moyen et long terme parce que les coronavirus ont la réputation de muter encore plus que les virus de la grippe. La stratégie adoptée par nos autorités (non « autorisées » en la matière) allait donc inévitablement s’enliser dès qu’apparaitraient des variants résistants au vaccin. Nous en avons aujourd’hui une nouvelle preuve puisque le variant omicron affecte deux fois plus le sujets doublement vaccinés que les non-vaccinés et trois fois plus les sujets triplement vaccinés.

Mais ce qui fait se dresser les cheveux sur la tête à n’importe quel pharmacologue est la décision de proposer d’étendre la vaccination aux femmes enceintes. Il n’y avait, dans cette population, particulièrement délicate sur le plan médical, aucune urgence. L’habitude, fondée sur l’expérience et la sagesse incitent à attendre une dizaine d’années ( !) après la mise sur le marché avant de proposer aux femmes enceintes une nouvelle molécule. Rappelons le cas de la Thalidomide (bébés Softenon) et celui du Distibène®, un œstrogène de synthèse préconisé dans les menaces de fausses couches. Il a fallu des d’années avant que le corps médical ne se rende compte que ce médicament donné à la mère provoquait chez les enfants des cancers gynécologiques et des malformations génitales. La prescription du vaccin expérimental aux femmes enceintes est d’une telle irresponsabilité qu’il ne fait pas de doute que les autorités responsables auront un jour où l’autre à se justifier devant la justice de leur comportement. Les statistiques officielles relèvent en effet déjà une fréquence tout à fait anormale de fausses-couches, de décès périnataux et d’anomalies congénitales chez les bébés nés de mères vaccinées[15]. Ces données scientifiques qui devraient être prises en compte par les autorités sanitaires ne semblent pas modifier d’un iota la doxa de nos politiques. Je ne voulais pas croire au début de mon enquête à ce terme de « génocide » évoqué par plusieurs universitaires dits « anti-vax » mais je dois avouer aujourd’hui que l’entêtement aveugle de nos gouvernants mérite effectivement ce nom. ……………


[1] Le terme de doxa en grec signifie une « opinion ». il s'oppose à l'alètheia , la vérité dans son dévoilement.

[2] Article du VIF : nous, généralistes :https://www.levif.be/actualite/belgique/nous-generalistes

[3] Une note confidentielle de JF Delfraissy à E Macron, révélée par Mediapart et datant du 22 avril 2020 dit ceci: « les questions éthiques et sociales sont devenues nombreuses. Elles mériteraient d’être discutées dans des lieux où les acteurs de la démocratie sanitaire peuvent retrouver un rôle actif » Manifestement, dans l’esprit du Président, on n’est plus en démocratie. On est en « état de guerre ».

[4] Au début de la pandémie, il a affirmé doctement que les virus à ARN ne mutant pas, il n’y aurait jamais de variants. Pendant la période de vaccination, il répond à un journaliste qui lui demande combien il y a eu de décès dus au vaccin en France : « aucun ». Or, à cette date, les centres de pharmacovigilance en comptabilisaient déjà 1.200, ce qui ne représente probablement que à 10 % des cas réels.

[5] Nos autorités sanitaires ont incité les médecins de EHPADs à « soigner » les cas graves avec du Rivotril ®, molécule qui inhibe le centre respiratoire et qui donc n’est autre qu’un euthanasiant. Les ventes de ce médicament ont explosé pendant la première vague.

[6] Je donne, à la fin du livre, quelques notions élémentaires d’immunologie.

[7] https://en.wikipedia.org/wiki/Dengvaxia_controversy

[8] S.v. Subramanian et Akhil Kumar: European Journal of Epidemiology, 9 sept 2021, Correspondence.

[9] L’affaire, sinistre, est racontée par Robert Fitzgerald Kennedy Jr, l’auteur du best seller « The Real Anthony Fauci », dans un article intitulé « The Day Jake Tapper (vedette de CNN) Sold his Soul to Pharma ». Le journaliste a été sommé par sa hiérarchie d’enterrer l’affaire parce que Big Pharma (Pfizer) menaçait d’arrêter sa publicité sur CNN. Depuis, Tapper est complètement « vendu » à la cause du dogme vaccinal. C’et lui qui a permis à Anthony Fauci, le Monsieur Covid de la Maison Blanche de proférer, sans rencontrer la moindre contradiction, une foule de mensonges que des millions d’américains ont avalés en toute naïveté.

[10] Au lieu d’écouter les cris d’alarme d’un grand spécialistes des essais c iniques et de la sécurité des médicaments comme Peter Mac Cullough, il a été réduit au silence médiatique comme beaucoup de ses confrères.

[11] En France, il existe quelques irréductibles gaulois (Christian Perronne,Didier Raoult, Laurent Toubiana, Laurent Mucchielli, Luc Montagnier) qui continuent s’exprmer publiquement sur les quelques rares médias non alignés comme Sud Radio. Tous les autres semblent s’être aplatis devant les thèses sanitaires d’un gouvernement qui, pour les convaincre n’a pas hésité à leur faire cadeau de 3 milliards d’euros en remerciement anticipé de leur collaboration à l’effort de guerre (cfr Ch 6C).

[12] La première étude du vaccin Pfizer parue dans le NEJM du 31/12/2020 étudie la sécurité et l’efficacité du vaccin sur 21.720 patients et les conclusions, du point de vue sécurité, occupent moins d’une ligne : « La sécurité sur une médiane de 2 mois est semblable à celle des autres vaccins ». C’est un gigantesque mensonge. On a découvert plus tard que la firme avait classé « confidentiel » une liste d’effets secondaires qui ajoutait 100 nouveaux effets aux 21 officiellement reconnus sur la notice. Sur 600.000 vaccinations entre le 14/12/20 et le 28/02/21, on rapportait déjà 1.200 décès, 23 avortements spontanés (sur 270 grossesses), 2.00 problèmes cardiaques et un total de 42.086 rapport d’effets secondaires. C’était déjàlargement au-delà de ce qu’un service de pharmacovigilance pouvait accepter. Et pourtant, aujourd’hui encore, on vaccine. C’est de la boucherie organisée.

[13] EFVV (European Forum for Vaccine Vigilance) le 01/01/22 siégeant à Luxembourg

[14] Le Prof Marty Makary de l’école de santé publique Johns Hopkins accuse le gouvernement américain de nombreux décès dus à son refus de reconnaître l’immunité naturelle. Il parle de « McCarthyism moderne ». La CDC aurait même sponsorisé deux études affirmant que l’immunité vaccinale est supérieure à l’immunité naturelle.

[15] Une étude détaillée des données du VAERS par Christine Cotton montre que la vaccination durant la grossesse occasionnerait 27% de fausses couches, 10 % de prématurité et 4% de malformations congénitales. Les sages femmes relèvent aussi la fréquence anormale de thromboses localisées dans le placenta. (https://www.francesoir.fr/sites/francesoir/files/media-icons/Revue-des-Essais-Cliniques-COVID-Christine-Cotton.pdf


Table des Matières

Introduction

Ch 1 : Le mensonge originel

Ch.2 : La propagation épidémique du mensonge

Ch 3 : Le mensonge « systémique » de la Science

Ch 4 : La pandémie, révélateur d’une mondialisation sauvage

Ch 5: Deux stratégies pour la pandémie

A- La stratégie « classique » de la Santé publique

B- La stratégie « scientifique » de nos autorités

Ch6 : Quatre stratèges-clé de la pandémie

6-A Saint Bill, éminence grise de la santé mondiale

6-B Big Pharma, la sangsue de l’assurance-maladie

6-C Davos, le think tank du capitalisme mondial

6 D. Les Médias, outils d’une manipulation mondiale

Ch 7 : Le mensonge mondial

Envoi

Notions élémentaires d’immunologie

Table des matières